Thursday, May 21, 2009

Roxanne Lowit, Jane Campion and Cannes Festival, Emilie Casiez





Jueves 14 de mayo 2009


Roxanne Lowit

Me conecto a Facebook, je !, je !, soy el adicto número uno, y descubro que Jean Charles de Castelbajac, un estilista francés que me encanta su universo lleno de color y de rock and roll, muy London, había publicado una foto de Roxane Lowit.

Roxanne es muy amiga de Charles-Henri de Lobkowicz Bourbon Parma, un príncipe europeo a quien tuve la oportunidad de hacerle unos retratos. Un día estuvimos con ella. Lowit normalmente vive en Nueva York y me encanta lo instántaneo de su fotografía y la forma en que aborda a las celebridades.
Lowit did not go to school to be a photographer. She graduated from the Fashion Institute of Technology in New York with a degree in art history and textile design. It was during her successful career as a textile designer that she realized something.
"I paint and there were people who I wanted to sit for me but had no time, so I started taking pictures of them. I liked the gratification of getting the instant image so I traded in my paintbrushes for a camera."

Lowit started making pictures in the late 70s with her 110 Instamatic, photographing her own designs at the New York fashion shows. Before long she was covering all the designers in Paris where her friends – models like Jerry Hall – would sneak her backstage. It was there that she found her place (and career) in fashion.
"For me, that's where it was happening," she says. "No one thought there was anything going on backstage, so for years I was alone and loved it. I guess I made it look too good because now it's so crowded with photographers. But there's enough room for everybody."


« Je me suis mise à aimer la poésie, à comprendre qu’il faut rester dans le mystère »

Jane Campion

Ese mismo día la agencia con la que trabajo me propone tener un pase VIP para ir al Festival de Cannes y casi me muero de la emoción y como buen mexicano no estaba bien organizado para salir inmediatamente así que apenas iré esta semana.
Lo que si es que me puse a ver que es lo que pasaba y descubrí una película de Jane Campion. Campion quiza no sepan quién es pero la van a recordar ya que es la directora de El Piano (en français La leçon de Piano), esa hermosa película de Nueva Zelanda, donde una mujer muda que tiene una hija solo se puede comunicar a través de su piano. Y la música maravillosa, yo no dejo de escucharla y pensar en esa imagen tan bonita donde ella está en el fondo del mar con su piano y de repente una mano llena de amor la rescata.
Que más puedo decir esta película, es de una poesía conmovedora y ahora Campion regresa a Cannes con una historia de amor más fuerte que Romeo y Julieta, el film Bright Star.
Bright Star évoque l’histoire d’amour passionée entre le poète anglais Jon Keats âgé de 23 ans et sa jeune voisine, Fanny Brawne de 1818 à 1820. Ils se fianceront secrètement en 1819 mais ne pourront jamais se marier. Frappé par la tuberculose, Keats part en convalescence en Italie en 1820. Il moura à 25 ans à Rome, sans jamais avoir revu Fanny.
Son dernier poème s’intitulait, To Fanny.
« L’univers de Keats et de Fanny est empreint de lumière, il s’illumine littéralement et irradie, la flamme allumé par son génie de la poésie et son esprit unique ne peut être éteinte »

Quand on aime, on baisse les armes, on est complètement vulnérables. C’est une sorte de rite de passage. Il faut être ouvert à la souffrance comme à la grâce.


Séduire sans provoquer -Emilie Casiez

Para acabar el día al final decido ir al cocktail de Emilie Casiez, quien es una amiga diseñadora de modas y vecina de la rue Charlot. Y sigo escuchando Dancing Queen.
Émilie est franco-japonaise, diplômée du prestigieux Studio Berçot. Elle a une griffe à son nom.
Alors essentiellement basée sur les tee-shirts et les sérigraphies exclusives, la marque a rapidement évolué : deux collections par an, des silhouettes complètes "made in France" qui mixent vestes, robes, tops, ou maillots de bain, une présence en salons et une distribution dans les boutiques les plus pointues de Paris, Tokyo, Londres.
Emilie a conçu un modèle unique pour une performance au Palais de Tokyo en 2002 aux cotés de marques telles que Sonia Rykiel et Christian Lacroix.
Elle a également réalisé une collection pour femme, pour la marque Surface to Air pour l'été 2004. Ses vêtements sont basés sur la nature contradictoire des femmes d'aujourd'hui. Les modèles sont à leur image et correspondent à leurs attentes : séduire sans provoquer, être féminine et chic, se sentir à l'aise dans toutes les situations, le jour comme la nuit.
Elle collabore également dès 2007 avec des labels indépendants de musique tels que Supplement Facts (de Guy Gerber), pour qui elle dessine les pochettes vyniles. Emmanuelle Gaume, Axelle Laffont, Grand National, Maggie Cheung, Emmanuel Santaromana, Eva Longoria,Ivan Smagghe,Vahina Giocante, Ora Ito et Alfredo Salazar, entre autres ont adopté les vêtements et les portent dans la vie et parfois a l’antenne.

photo Emilie Casiez by Baudouin

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